Une petite balade dans la petite ville de Châteauneuf du Faou
et au bord du canal de Nantes à Brest qui fut construit en
partie par des bagnards. Circuit de 4,850 km dont 1,4
obligatoirement à vélo ou à pied. 6
étapes. |
Adossé au tronc d'arbre qui l'a soutenu
durant sa courte nuit, Mathurin se réveille à
l'esquisse du jour. Son premier regard balaie la nappe de
brouillard suspendue sur cet endroit charmant*. Sa première
pensée a le goût amer de la mission inachevée
Il n'arrive pas à vraiment accepter l'échec du devoir
qu'on lui a confié. Ce matin de juin, il a froid. Il se sent
vieilli devant le feu presque éteint qui ne le
réchauffe plus. Pourtant,il n'a que 25 ans. La vie de
bagnard lui a volé ses plus belles années, creusant
des rides précoces autour de son regard d'un bleu si
profond. Le trésor étant caché, il peut
maintenant reprendre sa route sur les chemins creux semés
d'embûches.
Mathurin Soulabaille, né en 1803
était le 3ème fils d'un négociant de Loire
Inférieure. C'était un jeune homme calme et instruit.
Il se disait « ennemi de tous les dieux car ce sont des
êtres imaginaires ». A 18 ans, il s'engagea en
qualité de simple soldat du roi Louis XVIII. Après un
brillant début de carrière, il fut affecté
dans le corps expéditionnaire français envoyé
en Espagne, placé sous les ordres du Duc d'Angoulême,
neveu du Roi. Le 31 août 1823, lors de la prise du Fort de
Trocadéro protégeant le Port de Cadix, il s'illustra
héroïquement. Néanmoins, il finira cette
glorieuse Campagne en désertant, pour les yeux de velours
d'une belle andalouse, le 17 septembre suivant.
Repris, puis condamné à 5 ans de
travaux forcés, il fut envoyé au bagne de Brest. A
son arrivée, comme il est de tradition, tous ses
vêtements furent brûlés par mesure
d'hygiène puis le nouveau forçat se retrouva
attaché à un autre condamné, un vieux bagnard
inculte, sale et violent répondant au sobriquet de
« Cervelle de Pivert ». Ce dernier devait lui
tenir mauvaise compagnie pendant 3 ans comme il était
d'usage. Pour échapper avant l’heure à cet
être rustre, Mathurin se porta volontaire pour travailler
à la construction du canal de Nantes à Brest.
Transféré à Glomel, petite commune des
Côtes-du-Nord, il participera au creusement de la fameuse
tranchée permettant aux bassins versants de l'Aulne et du
Blavet de communiquer par le canal de Nantes à Brest**. Dans
ce camp insalubre, il s'évadait mentalement dès qu'il
en avait le loisir. Il s'imposait des voyages immobiles par des
travaux d'introspection. C'était sa façon de
déjouer sa condition de prisonnier. Affecté lui aussi
au camp de Glomel, Gabriel Lézard, dit le Dragon de la
Butte, fut condamné à 8 années de bagne pour
insoumission et tentatives d'évasion. Il se distinguait de
ses codétenus par son charisme et des attitudes peu
ordinaires.
|
La prise du fort de Trocadéro
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Au bagne de Brest : "Cervelle de pivert" est
debout. Mathurin, fatigué, se repose.
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Cet orphelin Montmartrois, instruit par les
jésuites pour qui il avait gardé une grande estime,
fuyait par la prière. Le libre penseur et l'homme de la rue
formé à la théologie lièrent lentement
confiance et complicité. Par de-là leurs origines
sociales, leurs conceptions et leurs convictions bien
différentes, ils forgèrent une solide et franche
amitié. Les acolytes confrontèrent leurs
différences de points de vue s'enrichissant et s'en
nourissant pour évoluer. Cette méthode leur
permettait de s'échapper mentalement à défaut
de le faire physiquement. Un soir d'été, Gabriel
Lézard raconte une curieuse histoire à son ami
Mathurin : "Bien avant d’être affecté ici, par
un matin brumeux de novembre 1822, un vieux curé assis sur
la berge de l'Eau Verte, nous observait extraire l'ardoise servant
à la construction de l'écluse "Châteauneuf". Au
moment de se lever, le vieil homme, trop faible, glissa sur le
côté et resta inerte, incapable de se relever.
Lâchant ma pioche, bravant la vigilance des gendarmes et au
risque de ma vie, je lui portais assistance. Le gendarme pointait
son arme dans ma direction mais curieusement me laissa faire. Le
vieillard se présenta comme étant le curé
démissionnaire de Châteauneuf du Faou, Jean Le Corre.
En désaccord avec l'Évêché, il avait
préféré se retirer en 1821. Je compris
instinctivement que cette rencontre était ma
destinée, il n'existait plus que ce dialogue, que nous deux,
comme si le temps s'était arrêté. En posant les
yeux sur ce visage, je fus frappé par la lumineuse
profondeur de son regard. Je reconnaissais en lui l'indulgence
incarnée. Son discours sensé, sans haine, sans
jugement et d'une chaleur infinie fit que je me retrouvai. Moi, le
bagnard oublié des miens, j'allais reconquérir ma
substance, ma dignité. Je vivais, je pouvais rêver
à nouveau. Tout me revint, mes pensées furent
envahies, submergées par l'espérance.
L'espérance d'une humanité meilleure et plus
éclairée. Je remerciais la vie. Je m'unissais
à tout ce possible qui me rendait heureux et à
nouveau vivant. Je n'étais désormais plus seul.
J'avais l'impression d'avoir discuté longtemps tellement ses
justes paroles m'étaient précieuses.
Pour me remercier de ma compassion, le vieil homme m'offrit un
cadeau. Je le conserve encore aujourd'hui comme un symbole
chargé d'enseignements philosophiques que j'étudie
quotidiennement. Il est ma seule propriété en ce
monde. Regarde-le, toi mon ami, tu es le seul ici à avoir ce
privilège». Pour un homme libre, cet objet aurait
été une babiole, mais pour Gabriel Lézard, le
bagnard, ce modeste objet était un trésor, son
Phénix. Mathurin comprit l'état d'esprit de son
compagnon d'infortune au sujet de cette vétille sans valeur
marchande mais tellement précieuse qu'elle abreuvait l'homme
à la source. Les jours et les mois passèrent sans
saveur. Les nuits étaient accompagnées de douleurs
multiples causées par la condition journalière du
condamné aux travaux forcés. La faim tiraillait
l'estomac de ces hommes contraints à rêver encore plus
de Liberté que de pain. Ils n'avaient qu'un Droit ;
celui d'espérer qu'un jour, ils pourraient guider
eux-mêmes leur vie. En attendant, nos deux bagnards
s'évadaient à leur façon.
Par une belle après-midi d'avril, le Dragon de la Butte fut
victime d'un accident : une charrette chargée de lourdes
pierres lui roula sur le corps. Mathurin se précipita
auprès de son ami grièvement blessé. Les
larmes aux yeux, il s'entendit confier la mission de rendre le
trésor philosophique au vieil homme en lui assurant qu'il
avait bien mis à profit ses riches enseignements. Gabriel
Lézard, dit le Dragon de la Butte rendit l'âme avant
son arrivée à l'hospice. Libéré
prématurément pour services rendus au Roi, Mathurin
Soulabaille se mit en quête pour accomplir sa promesse :
retrouver l'ancien curé de Châteauneuf du Faou.
|
Il se rendit d'abord à la Chapelle Notre
Dame des Portes (N48°11.139
- W3°48.564) en Châteauneuf du Faou. Une
belle dame admirait le panorama surplombant le canal en compagnie
de 2 enfants. Mathurin s'approcha et l'interrogea. D'abord
inquiète de se voir abordée par cet homme au
crâne rasé et mal vêtu, elle fut rassurée
par l'attitude franche et honnête de l'ancien forçat.
Elle déclara qu'elle savait le Père Le Corre
retiré près d'un calvaire à la sortie du bourg
en direction de Kemper***. Elle était confuse de ne pouvoir
enseigner plus précisément cet inconnu au regard si
captivant. « En revanche, dit-elle, je sais que deux
indices sous forme de 4 chiffres chacun permettent de retrouver la
retraite du bon vieux curé que je n'ai pas vu en ville
depuis quelques mois. Le premier indice (A) se trouve sur l'angle
d'une maison indiquant la date de sa construction. La
bâtisse, se trouve à l'angle de la rue de
l'Église et de la place de l'Église Saint-Julien
(N 48°11.207 - W 3°48.766). Le second indice
(B) est la première date que l'on peut lire au-dessus de la
statue de la fontaine souterraine « Saint Jean
Baptiste ». Cette belle fontaine est dans une petite
rue**** à l'ouest de la place de l'église Saint
Julien. Ne la confondez pas avec la fontaine Saint Julien. Vaillant
comme vous semblez être, Monsieur, vous marcherez moins de 3
minutes ». Mathurin remercia puis salua cette
charmante dame et se mit en route (env. 350 m) à la
recherche des indices. Il les trouva rapidement et comprit que le
calvaire en question se situait à environ 2
kilomètres au sud-ouest du centre bourg.
A = …. B
=….
N 48°
10.(A-1055)
E 003° 49.(B-1092)
|
|
|
Arrivé au calvaire, Mathurin fut
frappé par l'ambiance du lieu. Tout respirait ici le calme
et la sérénité. Il se faisait une joie de
rencontrer enfin le vieux sage. Il aurait vite fait de le trouver
parmi ces quelques maisons de ce modeste hameau. Il frappa à
la porte de la première maison. Un homme
décharné, nommé Sieur Pillot, le regarda d'un
air glacial. Mathurin décontenancé, bafouilla «
Jean Le Corre demeure-t-il ici ? ». L'homme répondit
sèchement « Pape ni cardinal, l'Ankou*****
n'épargne. Des rois ? pas un ! Pas un roi, pas une reine, ni
leurs princes, ni leurs princesses. Pas moins qu'archevêque,
évêque, ni prêtres, nobles gentilshommes ni
forçat errant. Aucun Artisans ni marchands, ni pareillement,
les laboureurs ». Notre ancien forçat, laissé
à sa réflexion, s'interrogea. « Quel personnage
est cet Ankou, si puissant qu'il puisse mettre à
égalité Roi et le forçat que je suis ?
». Mathurin, inquiet et désorienté,
aperçoit l'habitante d'une autre maison. Une femme entre
deux âges, de condition modeste et visiblement éprise
de mauvais vin. « Jean Le Corre habite-t-il dans ce hameau,
Madame ? » interrogea Mathurin. « Mon pauvre Monsieur,
Monsieur Le curé Jean est au paradis maintenant. Paix
à son âme » répondit-elle en se
signant.
|
L'ankou, le terrifiant !
|
La passante à la mode de 1820
|
« Oui ! décédé le 28
avril 1828, le curé ! » Répliqua le Sieur
Pillot avec un rire malsain. A ces mots, Mathurin fut doublement
touché. D'abord parce qu'il ne pouvait donc plus honorer sa
parole faite à son ami défunt mais aussi par
l'annonce de cette date claquante comme un coup de fouet ! «
Le 28 avril 1828 ? Mais c'est ce jour-là que mon ami Gabriel
Lézard fut tué ! » prononça Mathurin
à haute voix. Qu'allait-il faire de l'objet et de sa parole
donnée ? Il ne se sentait pas le droit de garder l'objet. Et
pour qu'il demeura un véritable « trésor
», il fallait que cet objet demeura caché. Mathurin se
résolut donc à le cacher là où feu
Gabriel Lézard, l'avait reçu du Père Jean Le
Corre. Il se rappela le proverbe que son père, le Terrien,
affectionnait : « Y penser sans cesse ne labourera pas le
champ ». Bien décidé à agir, l'ancien
bagnard ordonna au Sieur Pillot : « J'ai besoin de trouver le
havre de paix où ce prêtre méditait, dites-moi
où est cet endroit ». « Regarde bien le
calvaire, il te renseignera » répliqua l'homme dans
une attitude de défi teintée de condescendance.
Mathurin n'avait pas d'autre choix que tenter de
trouver lui-même les signes sur le calvaire.
Question C : Où est placé le
calvaire ? Dans un champ = 102, au milieu du carrefour = 154,
au bord de la route = 161
Question D : Sur combien de marches le
socle repose-t-il ?
Question E : Combien mesure le
calvaire : 2, 4 ou 7 mètres ?
Question F : Dans quelle matière
sculpté le calvaire ? Du bois = 84, de l'airain = 99,
du granit = 33, du marbre =21
Vos réponses : C =… D = .
E = . F =..
N 48° 10.(C
multiplié par D)
W 3° 49.(F multiplié par E)
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Le canal de Nantes à Brest
|
Après 1100 m, notre bagnard arriva sur
une portion du canal qu'il ne connaissait pas. Il prit une grande
gorgée de Liberté devant les flots d'eau
fraîche au roulement musical. Le canal redessinait les arbres
dans des reflets d'azur et d'émeraudes et son courant
glissait doucement vers la droite. Le havre de paix où
curé Le Corre se ressourçait ne devait pas être
loin de cet endroit si magique.
|
Une gravure détaillait une écluse.
Mathurin étudia le dessin pressentant que celui-ci lui
désignerait l'écluse qu'il lui fallait visiter. En
effet, il se trouvait entre 2 écluses. Deux options se
présentaient donc à lui : Descendre le courant
ou le remonter.
Après réflexion, il se
décida à aller dans cette direction :
N 48° 10.(sas
d'écluse • Flot • Bajoyer du large)
W 3° 49.(Maison éclusière • Maison
éclusière • Maison
éclusière)
Attention : le chemin de hallage
est interdit aux véhicules à moteurs.
|
Gravure explicative d'une écluse
|
Tronc torsadé du actinidia
|
Arrivé à l'étape, Mathurin
admira l'ouvrage. « Que d'intelligence dans la
conception mais que de souffrances dans la
réalisation ! » Il songeait en particulier
à ses camarades forçats qui travaillaient comme des
bêtes de somme avec cette faim au ventre qui ne les quittait
jamais. Mathurin réalisa qu'il n'avait pas mangé
depuis son départ et se retournant, aperçut un lavoir
individuel accoté à la maison de l'éclusier.
Il s'y désaltéra et aubaine ! A trois
mètres de là… une liane puissante, un arbuste
sarmenteux grimpant sur le mur d'ardoise : un actinidia !
Celui-ci offrait ses kiwis ! Cet apport de vitamines fut
bienvenu. Heureux et rassasié, il décida de laisser
un indice à 1,5 m à droite de ce tronc joliment
torsadé.
|
Notre homme libre se dirigea dans la direction
que vous savez chers géochercheurs pour peu que vous ayez
trouvé la micro-cache.
Arrivé sur place après 700
mètres de marche (oui, c'est bien là), en hommage
à son ami Gabriel Lézard, Mathurin dessina avec du
pigment vert, un repère (regardez bien).
Indice brouillé à lire très vite : Al
tête ud riplete vert vuos mronte l'ernéte ud cihmen.
Encofenz-vous suos les arrbes pandnet 10 pas jqsuqu'à
dovurirécr l'eau vetre sur vrote gucahe. Vuos teveruroz une
fequrse. Siveuz le raregd ud larzed, il vuos iquinde le cimhen
à sivure. Le torésr est chacé drirère
le V vret de bios revoucert de mosuse.
Vous avez trouvé ? Félicitations. Nous vous
invitons à laisser vos impressions sur le site au travers
d'un log. Merci de ne pas y mettre de photo qui pourrait donner des
indices suplémentaires.
|
Cette histoire est
une fiction imaginée pour cette cache mais s'inspire au plus
près de données historiques.
Le trésor est caché dans une
boîte cylindrique en plastique étanche peinte en vert.
Il est accompagné d'un carnet (log-book), d'un crayon et
d'une note d’accompagnement.
* Endroit charmant : ancienne carrière
d'ardoise
** Le canal de Nantes à Brest est un canal à petit
gabarit d'une longueur 364 km reliant les villes de Nantes et de
Brest. Il emprunte les vallées de 7 rivières. Sa
construction remonte à la première moitié du
XIXe. Bien que la plus grande partie fut construite par des
ouvriers, les bagnards de Brest y contribuèrent
largement.
*** Traduction bretonne de Quimper
****aujourd'hui Rue Corentin Baron
***** Mathurin le Nantais ignorait que d'après la
Légende bretonne, l'Ankou est le serviteur de la mort.
|
|
Additional Waypoints PK22MH9 - Chapelle Notre Dame des Portes N 48° 11.139 W 003° 48.564 Point de départ. Profitez pour admirer le panorama ! PL22MH9 - Place Eglise St Julien N 48° 11.207 W 003° 48.766 Cherchez les 2 indices
Additional Waypoints (2) Code | Name | Type | Links | Comments | Date | Coordinates | Distance |
PK22MH9 |
Chapelle Notre Dame des Portes | Parking Area |
Google Maps | Point de départ. Profitez pour admirer le panorama ! |
05-01-2010 |
N 48° 11.139 W 3° 48.564 |
0,00 kms N |
PL22MH9 |
Place Eglise St Julien | Reference Point |
Google Maps | Cherchez les 2 indices |
05-01-2010 |
N 48° 11.207 W 3° 48.766 |
0,28 kms NW |
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Current at 24-06-2010
25-04-2010 by Tine29 Superbe ballade avec un très beau final. On a pensé qu'à la fin, qu'on aurait pu faire une partie en voiture, pour être de retour à l'heure prévue. Même en habitant pas très loin de là, on a découvert de nouvelles choses. Merci le Géocaching et merci Guedelon.
25-04-2010 by minouche29
je suis ici juste pour dire à tiperlouis que non la balade pas longue du tout.....................au contraire....................MERCI à guédelon pour cette super cache..................même si j'ai géléré un peu au début................et beaucoup marché............. bonne continuation minouche29
25-04-2010 by tiperlouis MG Belle balade. Mais un peu longue.
16-04-2010 by minouche29 Bonsoir
Me voici de retour ..... partie de bon matin à la recherche du précieux trésor..... les premiers indices trouvés sans trop de problèmes............. ensuite la cache finale, un peu hésitante... mais je me disais que j'étais près du but..... j'ai insisté et....trouvé.... J'ai une super journée de soleil en plus, une belle balade le long du hallage...... bref.... super contente....
out....rien
in.....un petit miroir de poche....
Minouche
11-04-2010 by dglama29 Wouah! sublime aventure que nous recommandons, nous avons pris plein les yeux (et dans l'appareil photo) de paysages merveilleux Merci Guédelon L'histoire présageait quelque chose de bien et nous l'avons eu, Bravo. Enlevé le TB Didier et Claudine
Nearby Caches GC1Z8DZ Le pont gaulois (6,96 kms E) GC15N48 cache-cache à Spézet (6,98 kms E) GC1Q39A Saint Goazec - Kastell Ruffel (7,52 kms SE) GC1X9KT La Chapelle de la Roche (8,48 kms SW) GC1Z8CG Notre Dame des montagnes noires (9,71 kms E)
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